Depuis le 2 octobre, les employés de Kickstarter sont en grève.
Le syndicat Kickstarter United réclame deux choses simples :
👉 la semaine de 4 jours (32 h) inscrite dans le contrat,
👉 et un salaire plancher de 85 000 $, le minimum vital à New York.
La direction refuse, invoquant le besoin de “flexibilité” managériale.
Un mot poli pour dire : “on veut pouvoir revenir à 40 h quand ça nous arrange.”
Résultat : les équipes tech, support et modération ont coupé la machine.
Kickstarter se revendique comme une Public Benefit Corporation — une entreprise “à mission” censée placer l’humain avant le profit.
Mais ses actes racontent aujourd’hui une autre histoire.
Coût estimé des revendications : 94 000 $ par an. Autant dire rien.
Le syndicat appelle à ne pas boycotter la plateforme pour épargner les créateurs.
Derrière les promesses de créativité partagée, la machine craque de l’intérieur.
Pendant que les projets s’alignent sur la page d’accueil, ceux qui les rendent possibles lèvent le poing.
Et si Kickstarter ne trouve pas vite la bonne carte à jouer, d’autres plateformes signeront bientôt le prochain chapitre du crowdfunding.
🔥 Kickstarter en feu – Le rêve participatif se heurte à la réalité sociale
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