Daredevil

Daredevil Netflix

Il est beau, il est fort, il n’est pas super drôle, il est aveugle, il ne joue pas de piano, il entend bien donc il peut attraper des objets en vol et grimper sur des murs. Logique. Il est aussi avocat mais surtout il est justicier. Daredevil le héros Marvel, la série réalisée par Netflix mérite-t-elle d’être vue ?

À l’instar de Spiderman, Netflix, et quoi qu’on en dise, est en train de tisser sa toile en France et bénéficie Outre-Atlantique d’une force de frappe pour la production de contenu (surtout des séries) non négligeable.

Cette fois, ils se sont attaqués à la réalisation d’une série tv portant sur un héros emblématique de Marvel : Daredevil.

Les apparitions télévisuelles du héros n’ont pas laissé de traces indélébiles dans les mémoires. Sauf, pas de bol pour Ben Affleck, son apparition en film que ce dernier souhaiterait peut-être oublier.

On retrouve donc notre Matt Murdock, avocat le jour et psychopathe au grand cœur la nuit. La série, tout du moins dans la première saison, a pour avantage, je trouve, de creuser, au fur et à mesure des épisodes, l’histoire du justicier.

Qu’elle soit fidèle ou non à la BD, on s’en moque un peu. Au moins on sait d’où on part, pourquoi telles ou telles choses sont liées. Même si on tombe dans du très convenu de l’enfance pas facile du gosse qui a perdu la vue (s’il rangeait ses affaires !), de l’amour d’un père à la situation difficile mais aux valeurs humaines fortes qui fait tout pour que son gosse soit un bon Américain citoyen.

Alors, quand on ne voit pas, on fait quoi ? La NSA a la réponse : on écoute. C’est surtout grâce ce sens radar et son ouïe (d’or) hyper-ultra développée que le jeune Matt Murdock se rend compte qu’il possède un don hors du commun.

Pris en charge par une espèce de David Carradine aveugle (lui aussi), le petit scarabée Murdock apprend et affûte ses sens et devient alors le super héros que l’on imagine.

La personnalité des protagonistes est bien développée. Toujours que du politiquement correct un peu “cul-cul”, mais bon, les liens d’amitiés que tissent Matt Murdock avec son pote Foggy Nelson ajoutent encore un peu plus à la richesse du personnage de Daredevil.

La suite de l’article sur Daredevil (par Netflix) est à lire en intégralité dans le numéro 4 de l’encéphalovore (à télécharger ici).

 
Rédigé par
Du rab de Draft Punk
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