One Deck Dungeon, les «elles» du donjon

One deck Dungeon cover

One deck dungeon est l’archétype même du jeu que j’aurais aimé inventer si j’avais moins la flemme ludico-créative. Un jeu de cartes peu encombrant, malin et plus profond qu’il ne le laisse présager (3 étages tout de même).

One deck dungeon. En tant que joueur passionné que vous êtes, vous avez déjà fait l’approximative traduction du nom du jeu. Faisons simple, pour nous pauvres francophones que nous sommes : le donjon en un paquet de cartes. 

C’est dans cette optique, qui paraît si simple, d’un jeu complet dans un paquet de cartes que le jeu a été créé. Ajoutez-y tout de même une bonne grosse poignée de dés.

Derrière le portail

C’est dans une petite boîte bien lourde que se présente One deck Dungeon. Classiquement sobres et sombres, les illustrations de Alanna Cervenak & Will Pitzer ne sont pas exceptionnelles mais nous montrent bien l’ambiance dans laquelle les joueurs vont se plonger.

Il y a moult cartes, une fiche d’aide, de jolis pions en bois en forme de cœur (pour les blessures) et de quelconques cubes en bois (aussi) pour symboliser les potions que vous avez à votre disposition au cours de votre aventure.

Les Héros du jeu sont toutes des héroïnes et du coup je vais opter pour un article avec des pronoms personnels féminins pour ces dernières. Et toc ! J’aime bien le pied-de-nez des illustratrices sur ce projet.

Il y a une Paladin(e ?), une Rebelle, une Guerrière, une Mage et une Archère. Chacune avec ses attributs plus ou moins importants. Je parle de leurs capacités de combat.

One deck Dungeon est un jeu qui se joue soit seule ou à deux. La ou les joueuses vont donc choisir leur(s) héroïne(s) et tenter de braver les pièges et autres monstres du lieu afin d’occire le gardien du temple (en l’occurrence ici du donjon, mais je trouve que l’on dit déjà souvent « donjon » dans ce papier).

Le château des ténèbres

Si le but du jeu est simple à comprendre,  il est bien plus ardu à réaliser. En effet, le temps va jouer contre vous et chaque pièce (carte) de la ténébreuse bâtisse que vous visiterez contiendra soit un monstre contre lequel il faudra survivre, soit un piège dans lequel il ne faudra pas tomber (ou pas trop fort). L’idée est de survivre à une rencontre et pas nécessairement de l’emporter. Vous commencerez donc votre aventure avec une pauvre potion de soin (mais néanmoins très utile) et la capacité de base de votre héroïne.

Selon le gardien que vous allez affronter, le donjon sera plus ou moins dangereux. Sachant que le premier stade de difficulté du jeu se situe à peu près au niveau de « très dangereux » sur l’échelle des dangers que toute bonne et intrépide aventurière doit connaître.

La suite de l’article sur One Deck Dungeon est à lire en intégralité dans le numéro 14 de l’Encéphalovore (à télécharger ici).

 
Rédigé par
Du rab de Draft Punk
L’encéphalovore 10, magazine de jeux de société, est disponible !
Vous pouvez tout de même faire un don pour nous « soutiendre ». Chers...
Lire la suite