The Witcher, le jeu d’aventure

The Witcher cover

The Witcher, à l’origine roman à grand succès polonais, s’est d’abord vu adapté plus ou moins bien en jeu vidéo. Et puis, comme un filon toujours bon à épuiser, FFG, «l’ameritrasher» par excellence a décidé de le porter sur un plateau. Sans être un drame ludique, ce n’est pas non plus la meilleure idée qu’ils aient eue.

The Witcher, le jeu de plateau

Rares sont les petites boîtes chez FFG et cette dernière ne déroge pas à la règle du « plus c’est gros, mieux c’est ». Ce qui est faux et me conforte intimement.

Bon, il y a du matos quand même, mais rien à se casser volontairement ou non le coccyx. Beaucoup de cartes, de dés, des jetons en carton à gogo, un joli et généreux plateau et… quatre figurines de héros, dits les « Les quatre z’amis », qui font bien pauvrettes toutes seules dans leur coin.

Dans The witcher 1 km à pied, ça use…

Le but de The Witcher est de réaliser trois quêtes avant ses adversaires. Les quêtes. De ce que nous en avons vu, elles se résument bien souvent à récupérer des indices (jetons appropriés) qu’il faut convertir en preuves, selon un tableau de conversion propre à chaque personnage.

La façon la plus simple de collecter ces précieux indices est de se balader de ville en ville. À chaque ville de base visitée, le joueur dont c’est le tour collecte un indice.

Les personnages que peuvent incarner les joueurs ont chacun des capacités qui leur sont propres (c’est un jeu très propre vous verrez).  À chaque tour, vous avez la possibilité de réaliser seulement deux actions parmi un panel de 5. Outre les traditionnels « déplacements » et « repos » (pour se soigner), un joueur peut enquêter pour obtenir des indices supplémentaires, se développer (c’est à dire obtenir de nouveaux pouvoirs qui faciliteront la réalisation des-dites quêtes) et une action que l’ont croit spécifique à chaque personnage comme concocter, se préparer, etc. Le terme de cette dernière action est différent pour chaque héros mais ça reste quasiment le même fonctionnement pour tous. En gros, on prend une action pour charger nos sorts ou nos différentes armes.

La suite de l’article sur The Witcher est à lire en intégralité dans le numéro 7 de l’encéphalovore (à télécharger ici).

 
Rédigé par
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