La semaine prochaine paraîtra dans toutes les bonnes crémeries la très attendue version « Dark » du célèbre King of Tokyo. Cette version, au « gameplay » amélioré, a été artistiquement réalisé par Paul Mafayon.
Paul est un artiste solitaire, vivant en ermite dans un village reclus du Royaume de France. Il n’aime pas les grandes villes et son plaisir inconscient c’est de les détruire. Il était donc tout désigné pour s’occuper du ravalement de façade de ce jeu légendaire qu’est King of Tokyo.
J’ai pu l’approcher dans le sombre parloir d’une obscure maison d’arrêt suite à un incident dans le village des enfants Lego® de son Super U local.
La presse régionale relate qu’il aurait eu un accès de fureur engendré par la rencontre inopinée de son petit orteil avec une brique de la célèbre firme de jouet. Après avoir agité les bras dans tous les sens et mit des coups de pied à toutes les structures ressemblant de près ou de loin à des bâtiments ou des buildings d’une grande ville, une unité du RAID a du intervenir pour le maîtriser.
Bref, croyez-moi ou pas, il a du faire des travaux d’intérêt général pour se sortir de ce mauvais pas (c’est le cas de le dire). Le juge, magnanime, a commué sa peine à quelques jours à l’ombre et en lui imposant de réaliser un dessin sur une boîte de King Of Tokyo : Dark edition.
Et nous, suite à une autre histoire judiciaire (soit disant de « délation de corbeau« ), on doit vous faire gagner cette boîte si spéciale. Le karma, que voulez vous.
Alors, après avoir lu et admiré nos talents de fabulateur conteur, vous allez devoir mériter votre lot (et avoir du bol aussi).
Pour remporter King Of Tokyo : Dark edition, auquel nous avons enlevé le cellophane (mais rien « dépunché », pas de sacrilège !), vous allez devoir trouver où se situe la ville (réelle) de la maison d’arrêt (fictive) où Paul a pu nous faire la dédicace en échange d’une pince-monseigneur.
Vous avez un indice, le voici :
Modalité : la mode alitée
Alors, comme on est pas hyper fans des « putaclick »* et qu’on vit bien peinard en étant un peu reclus, on a envie que ce concours s’adresse à de vrai•e•s joueurs•ses. Pas ceux qui « like » et se désengagent ensuite.
Envoyez votre réponse via notre beau formulaire en indiquant en objet « Concours King Of Tokyo : Dark edition« . Saurez vous trouver la page contact ?
Une aide précieuse se cache sur le site. Servez-vous de la barre de recherche du site en indiquant le nom complet du coupable de cette triste histoire. Seul un article sortira du lot en plus de celui-ci, lisez-le.
*Nous avons tout de même un peu envie de nous faire connaître encore un peu plus, alors vous pouvez commenter le post Facebook qui vous a amené là en désignant (tagant) quelques joueuses ou joueurs à qui vous aimeriez mettre des baffes, surtout après avoir trouvé la bonne réponse. Ça doublera vos chances pour ce concours.
Un tirage au sort via le site randompicker, parmi les bonnes réponses, désignera le grand gagnant. Le ou la gagnant•e s’engagera, publiquement ou pas (c’est là qu’on reconnaît les gens bien élevés), à dire « Merci l’Encéphalovore, vous êtes trop forts ».
Ce jeu concours est ouvert aux résidents de France et de Belgique parce que faut bien prendre sa part de belges. Comme le fait déjà France Inter.
Clôture des participations dimanche 28 juin 23h59. Date et horaire des e-mails reçus sur nos serveurs faisant foi. 1 participation par personne.
*Conformément à la réglementation en vigueur, votre adresse e-mail ne servira qu’a contacter le gagnant. Elle ne sera jamais stockée dans notre base de newsletter sans votre consentement. Mangez des pommes.
Un grand merci à Paul et Iello de jouer le jeu avec nous.
Retrouvez tout le talent de Paul Mafayon sur sa page artstation