Dice Forge ‘n Roll

Libellud était sur le développement de Dice Forge depuis plusieurs mois. L’idée était de créer un support ressemblant à un dé afin de permettre le changement facile des faces dudit objet.
Et c’est en juin, qu’ils ont mis fin au suspense en sortant le très attendu jeu de Régis Bonnessée : Dice Forge. Alors ça roule, ma poule ?

Être éditeur c’est croire en son projet et en ses capacités à le réaliser. C’est exactement ce qu’a fait Libellud en proposant avec Dice Forge un jeu ambitieux.

Ambitieux tant par sa mécanique de « forcer la chance » et par la création d’un matériel personnalisable par l’intermédiaire de dés spéciaux.

Ces cubes de plastiques, plus gros qu’un dés standard (qui lui est bien souvent de 12 mm de côté), ont la particularité d’avoir des faces interchangeables. Ce qui tombe plutôt bien car là est l’essence même de Dice Forge.

Déboitage

Tout d’abord, on peut être séduit par la belle boîte de Dice Forge, sobre et élégante. Les illustrations des plateaux et des cartes sont de Biboun. Illustrations parfaitement dans l’air du temps. Il y a deux plateaux distincts. Un pour les facettes de dés (dit « le Temple ») et un autre (dit « les Îles ») où sont disposées les cartes des créatures mythologiques et auprès desquelles vous irez pour accomplir vos futurs exploits.

Le reste de la boîte (appelée « Fondations ») est bien pensé et bien thermoformé — pour son âge —  ce qui permet un rangement logique et simplifié, même avec des cartes sous pochettes de protection. C’est plutôt bien vu. Mais revenons à nos dés et nos dieux.

Système dés pour demi-dieu

Pour faire court, dans Dice Forge vous incarnez un mortel en manque de reconnaissance voulant attirer l’attention des dieux de l’Olympe. Seulement, ces êtres divins et hautains ont repéré d’autres mortels aux exploits hors-normes (vos adversaires).

Et parce que toute divinité, quelle qu’elle soit, pousse les humains à faire n’importe quoi, les dieux les exhortent alors à récolter de la gloire. Ces dieux, plein de miséricorde mais surtout taquins, prendront le meilleur (ou le plus chanceux) d’entre vous pour en faire un demi-dieu. Car seule la gloire comptera à la fin de la partie.

Pour cela, chaque concurrent à la « Olymp’s academy » se voit octroyer 2 dés pour l’aider à accomplir leur destin. Ces cubes divins …

 La suite de l’article sur « Dice Forge » est à lire en intégralité dans le numéro 10 de l’encéphalovore (à télécharger ici).

 
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