Savoir si vraiment, un jeu, ici TIME Stories, ou une œuvre, quelle qu’il/elle soit, est vraiment super, ou que ça nous plaise, il n’y pas d’autre moyen que de le/la tester. C’est immuable, c’est comme ça. Ça s’appelle de l’expérience utilisateur (UX). Et ça me rappelle le boulot.
Ici, pour TIME Stories l’expérience utilisateur (par retour de masse de la part des joueurs lambda et non pas de quelques privilégiés) n’a pas encore eu lieu. Ben oui, qui sait si on a une erreur d’impression, de matériel tout compte fait pas adapté ou réagissant à l’usure de façon bizarre (souvenez-vous de 7wonders à la sortie de sa première édition), tout ça fait partie de l’expérience que l’on en tire. Certes, ça n’a pas du tout empêché 7wonders de cartonner (sans jeu de mots) car il était bon. C’est tout simple.
Pour TIME Stories, nous avons donc depuis peu un joli visuel de la boîte plus blanc que blanc — que même Jonathan Ive se demande si ce n’est pas lui qui l’a imaginé —, l’histoire du jeu (pour l’ambiance, le thème) et, chose non négligeable, le retour via les forums (TT par exemple) des premiers testeurs.
Nous avons créé l’Encéphalovore par passion, soit, mais aussi pour essayer de se mettre à la place du consommateur (d’une certaine manière). Voilà, on nous dit (le “on” est hyper généraliste et impersonnel) que TIME Stories ça va être une tuerie. L’éditeur, et c’est son métier, tente de faire monter la mayonnaise afin de préparer les futurs (et potentiels) acheteurs, peut-être encore indécis, en faisant une communication autour de son produit. Jusque ici, et jusqu’au 5 septembre date de sortie officielle de TIME Stories, tout est normal. La preuve, on en parle.
En revanche, la question qui me taraude…
La suite de l’article sur Time Stories (du moins sur la réflexion qu’il provoque) est à lire en intégralité dans le numéro 4 de l’encéphalovore (à télécharger ici).
