Madame Ching – C´est le coup de gong du king. Bong !

Madame Ching, jeu de plateau

Madame Ching : Piraterie, richesses et expéditions en mer de Chine sont au menu de ce jeu malin servi par Bruno Cathala et Ludovic Maublanc. Simple à appréhender, il est de plus, et comme à son habitude désormais, illustré de fort belle manière par un Vincent Dutrait au Top.

ll suffit d’ouvrir la boîte de jeu de Madame Ching et de déplier ce grand plateau pour s’en prendre plein les mirettes. Les tuiles et les cartes, et même la règle du jeu, ne sont pas en reste. C’est beau. Rien à dire de ce côté là (sauf si on n’apprécie pas le travail – en techniques traditionnelles – de sieur Dutrait).

Un fois la mise en place effectuée, une partie de Madame Ching s’enchaîne. Peu ou pas de temps de mort. Tous les joueurs jouent de concert et essayent de mener leur barque (enfin, leur jonque) le plus loin possible sur la mer et de rapporter le plus de trésors possible. Et plus loin vous irez et plus de rencontres vous ferez.

Le but de Madame Ching (et aussi le vôtre) est comme beaucoup de jeu : relativement simple. Il faut en effet amasser le plus de richesses possible qui, une fois converties en point de victoire (PV), doivent être plus importantes que celles de vos adversaires.

Pour cela vous ferez plusieurs expéditions et remporterez, selon un barème simple basé sur la longueur de votre voyage, des tuiles missions. Ces tuiles, une fois récupérées vous octroieront richesse et gloire. Bon, richesse d’abord. Pour la  gloire, c’est dans votre route  et en fonction des symboles présents sur vos cartes de navigation. Ces derniers vous permettent de vous attirer les faveurs de la célèbre pirate (Madame Tsching, de son vrai nom Ching Shih, 1784 – 1844). Le jeu est simple mais il y a pas mal de paramètres. Je reprends.

Il y a 55 cartes navigation que les joueurs vont récupérer au fur et à mesure (main de départ de 4 et puis on en récupère 1 par tour parmi celles qui nous sont présentées et accessibles. Pour naviguer, pas besoin de permis (vu que ce n’est pas un bateau à moteur), il suffit de toujours poser une carte navigation de valeur supérieure à la dernière posée dans votre expédition. Pour bien avancer, il faut donc composer sa main de cartes de valeurs qui vous permettront toujours d’aller de l’avant. Sauf que des fois, on ne peut pas. Dans ce cas l’expédition s’arrête, on prend la tuile correspondante à la case de mer où vous avez mis fin à votre expédition, et on repart du port d’attache pour en commencer une nouvelle.

La suite de l’article sur Madame Ching est à lire en intégralité dans le numéro 5 de l’encéphalovore (à télécharger ici).

 
Rédigé par
Du rab de Draft Punk
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